Tendresse nocturne,
J'entrevois ton visage endormie,
Les cheveux sur ton front, la lueur d'innocence
Qui se lit sur ta bouch soudain me donne
Envie de t'embrasser. Attendrie,
Je te baise doucement la joue,
Et te soulève pour te déposer
Sur notre lit conjugal, te couvre,
Puis, M'asseyant sur une chaise: m'endors
Avec pour dernier souvenir
Ton visage auréolé d'un sourire.
Au matin, te voyant dans les bras de morphée
Mais pas jaloux pour un sous,
Met un bain à couler, t'offre le déjeuner
Dans ce lit que tu chéris tout et te porte
Au milieu de l'eau qui rayonne de ton sourire.